Atelier de travail sur l'amélioration des services de base dans le cadre du programme ABA GRANGOU

Martelly News - March 25 2012, 10:30 AM

Atelier de travail sur l'amélioration des services de base dans le cadre du programme ABA GRANGOU

Port-au-Prince, dimanche 25 Mars 2012: Dans le cadre du programme national de lutte contre la faim et la malnutrition, « ABA GRANGOU », la Première Dame de la République, Mme Sophia Martelly, a ouvert, ce vendredi 23 Mars 2012, à l'Hôtel Montana, un atelier de travail sur l'amélioration des services de base.

Il regroupe la plupart des acteurs directement concernés par le programme et porte sur la stratégie de mise en place du réseau national d'Agents de Développement Polyvalents.

Chaque intervenant a réfléchi sur la définition et la mise en place d'un système efficace de services essentiels au bien-être des populations vulnérables en Haïti.

Cet atelier a pour objectifs d'informer les partenaires sur les derniers développements du programme « ABA GRANGOU », de présenter le programme « Kore Fanmi » comme mécanisme d'accompagnement, de restituer les résultats du « mapping » des réseaux d'agents communautaires en Haïti, et de prendre des décisions sur les prochaines étapes pour la mise à l'échelle de « Kore Fanmi » comme stratégie de livraison de services pour « ABA GRANGOU ».

Il devra permettre de faire des propositions concrètes en réponse aux problèmes de la faim en Haïti.

Lors de son intervention, à l'hôtel Montana, la Première Dame de la République a mis l'accent sur la nécessité de cohésion qui doit exister entre les entités gouvernementales, principaux protagonistes d'ABA GRANGOU, et l'ensemble des organisations et institutions partenaires du programme.

Cet atelier est, selon elle, une étape importante vers l'harmonisation et la dynamisation des actions qui permettront de résoudre le problème de façon durable.

La stratégie ABA GRANGOU est fondée sur trois piliers essentiels: la lutte contre la malnutrition, la sécurité alimentaire et la livraison des services auprès des populations vulnérables, et doit, selon la Première Dame, tenir compte des communautés bénéficiaires et des différents problèmes qui entravent le processus de l'élimination de la faim en Haïti.

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